Personne n’y échappe, nous vieillissons tous. Et le vieillissement, c’est plus qu’un chiffre qui croît, plus que les cheveux gris ou les rides que nous voyons apparaitre. L’intérieur de notre corps change également. Ces changements ont lieu sur nos cellules, nos tissus, nos organes et aussi sur notre intestin. En fait, des études ont confirmé que notre intestin vieillit au même rythme que nous et, plus spécifiquement, que la diversité de la composition du microbiote de notre intestin change à mesure que l’on vieillit.1 La plupart des changements dans notre microbiote surviennent en raison de facteurs externes, comme l’alimentation, le stress, le tabagisme, la consommation d’alcool ainsi que des médicaments comme les antibiotiques. Les autres changements sont attribuables aux changements naturels qui se produisent dans notre corps lorsqu’on vieillit. Qu’est-ce que cela signifie pour notre intestin ? Cela veut dire qu’un déséquilibre de notre microbiote pourrait causer toutes sortes de troubles digestifs, comme des ballonnements ou d’autres types d'inflammations chroniques plus sévères. Bien qu’il ne soit pas possible de retirer toute forme de stress de votre vie, de manger uniquement des aliments biologiques non transformés ou de déjouer le temps, il vous est possible d’être plus conscient des changements se produisant dans votre microbiote à mesure que vous vieillissez ainsi que des facteurs de votre mode de vie dont vous devriez tenir compte à chaque étape afin de limiter les impacts négatifs. La vingtaine Il s’agit d’une période où vous vivez probablement plus librement. Les fêtes de famille, les rendez-vous galants, les 5 à 7 et les moments entre amis incluront probablement de la consommation d’alcool, peut-être du tabagisme et certainement moins d’égard à votre alimentation. Il n’est pas surprenant que toute combinaison de ces habitudes puisse affecter les bactéries se trouvant dans votre intestin. Et même si vous n'avez pas une consommation excessive d’alcool chaque semaine durant votre vingtaine, une consommation généralement plus élevée d’alcool (plusieurs fois par semaine) entraînera certainement le stress oxydatif et la dysbiose ; des conditions qui peuvent mener à l’inflammation du tractus gastro-intestinal et à l’hyperperméabilité intestinale (connu sous le nom du syndrome de l’intestin perméable).2 L’une des manières de réagir de manière proactive à cette période de nos vies, c’est de songer à prendre un probiotique de haute qualité afin d’aider à restaurer l’équilibre dans notre corps. En prime, une flore intestinale saine produit certains types de vitamine B dont la quantité dans l’organisme diminue rapidement lorsqu’on consomme de l’alcool. Au-delà de l’alcool, il se peut que notre alimentation ne soit pas optimale durant cette période de notre vie. Partager des entrées après le travail, manger rapidement quelques bouchées entre deux cours ou encore respecter un budget parfois restreint sont toutes des situations qui peuvent nous empêcher de consommer des repas préparés à la maison ainsi que des fruits et des légumes frais. Notre corps a besoin de ces aliments afin de nourrir les bonnes bactéries qui se trouvent dans notre intestin. Un manque de fibres, combiné à une plus grande consommation d’aliments transformés (dont la teneur en sucre et gras saturé est souvent élevée) peut compromettre votre digestion et ralentir votre temps de transit. La trentaine et la quarantaine Le stress fait partie de toutes les étapes de la vie, mais il semblerait qu’il soit d’autant plus présent au milieu de notre vie. Le stress du travail, les responsabilités familiales, les obligations et les listes de choses à faire : tout cela a un effet négatif sur vos bactéries intestinales. De quelle manière spécifiquement ? Quand on est stressé, notre cerveau se met en mode « combat ou fuite », ce qui réduit le sang pour notre digestion et altère les interactions entre l’intestin et le cerveau, fragilisant la muqueuse de l’intestin et ayant un impact négatif sur la diversité de notre microbiote. Si votre microbiote est fragilisé et moins diversifié, il y a donc moins de bonnes bactéries présentes pour combattre les pathogènes indésirables et pour les empêcher de pénétrer la circulation sanguine.3 Être conscients de cela nous permet également de cibler notre stress et de trouver des manières saines de le gérer. Premièrement, nous pouvons soutenir notre microbiote en prenant un probiotique au quotidien. Nous pouvons également réduire notre niveau de stress en prenant de saines habitudes, comme l’exercice. En effet, l’exercice serait également une manière efficace de limiter les impacts du stress sur notre intestin.4 Bien que beaucoup de gens perdent la motivation à faire de l’exercice en vieillissant, il s’agit d’une habitude qui fait toute la différence en vous gardant vous et vos bactéries jeunes. La cinquantaine Le vieillissement est inévitable et lorsque nous entamons la cinquantaine, les désagréments mineurs reliés à notre système digestif deviennent monnaie courante. Des problèmes tels que la constipation, la diarrhée, les gaz et les ballonnements proviennent directement de facteurs tels qu’un nombre réduit d’enzymes digestives, des changements hormonaux ou encore des années de mauvais choix alimentaires. Plus votre flore gastro-intestinale est déséquilibrée, plus vous ressentirez les effets d’un système immunitaire et digestif fragilisés. Avis aux femmes, prenez des notes. Notre intestin est directement en lien avec l’équilibre hormonal. Donc, si vous êtes une femme de ce groupe d’âge qui s’apprête à entrer dans la ménopause, vous devriez faire encore plus attention à soutenir votre intestin. Des études ont démontré que les changements dans le niveau d’œstrogène du corps peuvent avoir un effet sur l’équilibre du microbiote et ainsi influencer l’issue de plusieurs troubles métaboliques et immunologiques. La soixantaine et ensuite Plus de 70 % de votre système immunitaire se trouve dans votre intestin et il agit comme protection entre les pathogènes nocifs et votre flux sanguin. Ce sont les bonnes bactéries se trouvant dans votre intestin qui renforcent ces cellules immunitaires et qui empêchent ces pathogènes indésirables d’être absorbés. Mais, à mesure que nous vieillissons, notre système immunitaire se compromet (pour plusieurs raisons) et nous devenons plus à risque de développer des maladies.5 Il n’y a pas que notre système immunitaire qui se détériore avec l’âge, c’est souvent le cas de notre alimentation. Nous devenons plus sédentaires et nous devons prendre davantage de médicaments. Tous ces facteurs peuvent affecter l’équilibre de notre flore intestinale. Afin de conserver un système immunitaire solide, une réserve de bactéries abondante et d'éviter les carences en nutriments, il est important d’adopter une diète riche en fibres, manger suffisamment de protéines et prioriser la prise d’un probiotique au quotidien. Soutenir votre intestin de manière proactive à tous les âges Le vieillissement fait partie de la vie. Et bien que nous ne puissions rien y changer, nous avons plusieurs manières d’améliorer notre santé à mesure que nous vieillissons. Se concentrer sur notre intestin est une manière simple de commencer. Vous êtes en mesure de constater qu’à tout âge, certains choix de mode de vie peuvent causer la dysbiose de l’intestin. Prendre soin de votre intestin permettra à votre corps de mieux se protéger contre les pathogènes, combattre les maladies et les inflammations en plus de favoriser la longévité, la santé générale et le bien-être. Il n’est donc pas surprenant que la prise de probiotiques comme compléments alimentaires semble être la manière la plus efficace de soutenir le microbiote intestinal et d’en rétablir l’équilibre. En considérant Bio-K+, vous avez non seulement l’option de choisir la saveur et le format (format à boire à base de lait, format à boire végétalien ou capsules végétaliennes) qui vous convient le mieux, mais Bio-K+ a également effectué des études cliniques qui soutiennent le produit fini. Ce qui veut dire que vous pouvez être certains que vous retrouverez dans chaque bouteille et chaque capsule les même souches éprouvées cliniquement. Références 1. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5512975/ 2. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26695747 3. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22314561 4. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17211192 5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5625026/ 6. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5512975/
